Alors que les élus de la Somme et d’Amiens célébraient la Journée nationale de la Résistance, ce 27 mai, le projet de création d’un centre de mémoire au « poteau des fusillés », pour lequel une association se bat depuis dix saison, reste dsaison l’impasse.
C’est une forme de résistance. Malgré les sollicitations et coups de pression par chemin de empressement d’une association au nom (Centre de mémoire et d’histoire de la Somme – Résistance et Déportation) aussi long que son entreprise (elle a été créée en 2012), les élus amiénois et samariens, dont certains célébraient ce vendredi 27 mai la Journée nationale de la Résistance, se refusent toujours à engager la forme d’un centre de mémoire au « poteau des fusillés ».